Recevoir sans donner, une nouvelle loi? (Ana Novo)

  • 2013

Je ne peux pas dire si nous venons du singe, comme Darwin ou de l'explosion du Big Bang, selon un autre modèle scientifique. Personnellement, je pense que nous sommes le résultat d’une explosion, mais de l’amour, que j’appelle Dieu, de sorte que, bien qu’enveloppée dans un vêtement physique, notre vraie nature est divine.

Bien qu’il ne s’agisse pas de l’origine de l’être humain, cette réflexion, mais quoi qu’il en soit, c’est que nous sommes, nous vivons, une partie de notre existence sur cette planète et dans un univers dont la découverte Ça n'a pas de fin. Et aussi, parce que des enseignants, des philosophes et des scientifiques de tous les temps nous ont dit que, pour un meilleur fonctionnement, il existe des principes, des lois, de même origine et de même temps, et de application générale.
Ce qui est amusant, c’est que toute la création respecte les lois de ces lois, à l’exception de l’être humain qui, étant le dernier en ligne, essaie de les faire passer au torero. Et ainsi de suite!

Et je dis intenta car il n'est pas possible de leur échapper. Ici, les atténuateurs et les diverses astuces ne sont pas utiles. L'ignorance de la loi n'excuse pas sa conformité ou ses résultats.

Dans tout l'univers à recevoir avant de devoir donner. C'est la loi: la nature a enseigné à l'homme primitif qu'il devait semer s'il voulait récolter des produits; qu'il devait fabriquer des armes et aller à la chasse ou à la pêche s'il voulait manger d'autres aliments; que le mâle devait livrer son sperme et la femelle son v vulo pour créer une nouvelle vie Et comme nous parlons de lois, je me réfère aux tests.

Paradoxalement, avec le développement technologique et informatif que nous avons aujourd'hui, il y a un manque de croissance et d'évolution de l'être humain qui renonce à sa liberté et à son pouvoir créatif, pour utiliser ses capacités et des ressources et cache ses dons et ses talents pour mettre son bien-être, son destin et son bonheur entre les mains des autres, demandant, exigeant qu'il me donne, sans rien donner en retour ni bouger un seul doigt. A tous les niveaux et dans tous les domaines.

Les churras sont confondus avec des mérines et au nom de la solidarité ou de l'État-providence, à cause de la crise ou à cause d'une démagogie pure et dure, tirant parti de la propension humaine à la facilité, à la rapidité et à la liberté., les lois de la vie sont violées, ce qui garantit la dignité humaine, le courage, le respect, la justice, l'abondance, la liberté et le bonheur.

Comment serait-il cependant si la personne, la famille, la société donnaient le meilleur de leur richesse intérieure, en idées, pensées, émotions positives, projets, efforts, détermination, travail, persévérance, patience, confiance, conviction, support, échange ...? Que prendriez-vous? Y aurait-il crise, pauvreté, chômage et violence?

Parler de la valeur, de la liberté et du pouvoir de l'être humain lorsqu'il ose prendre en charge sa vie n'est pas populaire. Ça ne vend pas. Ce n'est ni sous presse ni à la télévision. Les gens ne veulent pas l'entendre ou l'accepter. C'est inconfortable, ça fait peur, ça coûte des efforts, une démission, du temps et de l'argent, ce n'est pas facile. Mieux vaut se plaindre et blâmer.

Mais c'est la loi: ce que vous semez sera ce que vous récolterez. Ce que vous donnez vous reviendra toujours.

Heureusement, mes parents m'ont appris en me servant du proverbe espagnol: «Des mains que tu ne donnes pas, qu'attends-tu?

Ana Novo, le 29 juillet 2013
La sage-femme spirituelle ®
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