Le vide, par Eloy Millet Monzó

Le vide a des connotations ésotériques et scientifiques. Nous avons l'intention d'exposer certaines d'entre elles et de les relier, ce qui nous mènera à la considération de la transmutation de la matière en esprit ou, en d'autres termes, de la réalisation de la volonté dans la matière. Nous allons exposer scientifiquement le processus de transmutation matérielle et essayer de le relier à l'illumination spirituelle et à la libération. Le processus du transmutateur à son meilleur serait interprété par l'avatar, de la même manière que la totalité de la question qui résiste à ce processus serait réalisée par le prétendu antichrist. Le vide est la seule chose qui terrifie l'antichrist, alors que l'avatar est attiré par lui. L'ange de

La présence est le médiateur entre l'humanité transmutée et l'Avatar, ainsi que le gardien du seuil entre l'humanité résistante au vide ou à la mutation et à l'antéchrist

Le vide est le résultat de deux processus scientifiques: l'effet photoélectrique et la radioactivité, ainsi que ses équivalents ésotériques: la transmutation et l'illumination par le feu du cœur, qui produit la libération.

Nous divisons ce travail en trois parties:

1. - Définitions et concepts: science et religion, hypothèse et axiome, proposition et réalisation.

2. - Brève chronologie.

3. - Relation possible entre science et occulte.

RECONNAISSANCE

Si du soufre en poudre et de la limaille de fer sont introduits dans un creuset, les deux substances seront mélangées tout en conservant leurs propriétés. Lorsque le creuset est chauffé, ils fondent et lorsqu'il refroidit, une nouvelle substance apparaît, qui n'a rien à voir avec les deux précédents, le sulfure ferreux. La raison en est la combinaison et non le mélange entre le soufre et le fer.

Ce travail pourrait résulter du rapprochement de personnes soucieuses du bien que nous avons rencontré à Ségovie, en Espagne, le dernier week-end de septembre 2006, et c’est un réel honneur pour son auteur de servir pour une possible expression de groupe de Ce qui a été révélé là-bas. Merci à tous.

1.- Définitions et concepts: science et religion, hypothèse et axiome, proposition et réalisation.

Aujourd'hui tout le monde sait que

la Terre a une forme sphérique, mais il fut un temps où " tout le monde savait que la Terre était plate ". Bien que nous n’ayons pas fait l’expérience qu’elle est ronde, nous l’avons apprise ainsi par héritage et nous vivons dans un ensemble de connaissances que nous admettons déjà comme certaines, servant de base à la structuration des autres. Que peut-il arriver si cette base est fausse? Au cours de l'histoire, cela s'est produit plusieurs fois.

Une nouvelle connaissance commence lorsqu'une hypothèse est formulée au moyen de la capacité humaine d'inventer et que, lorsqu'elle est vérifiée expérimentalement, un axiome est applicable à tout, c'est-à-dire qu'il est généralisé par induction les uns par rapport aux autres, donnant lieu à une loi de comportement. De cette façon, nous connaissons la raison de beaucoup de choses sans avoir à les prouver à nouveau.

Sur le chemin parcouru par l’humanité, il existe deux divisions ou groupes principaux: l’hypothétique, imaginatif et inventeur et l’expérimental ou producteur. Les deux sont exprimées séparément, mais lorsqu'elles ont été combinées, les propositions sont devenues des axiomes et sont devenues des lois révolutionnaires dont la découverte a ouvert une nouvelle ère pour l'humanité.

Le XIXe siècle a été conçu comme un matérialiste en raison de la prédominance de l'expérimentation. Imaginez la surprise d’un chimiste du temps où, en 1700, à peine une douzaine d’éléments étaient connus, 1 800 sur 35 sont passés à 103 sur 1 979. En près de 300 ans, on découvrit l'existence de 91 nouveaux éléments avec lesquels il était nécessaire d'expérimenter en observant leurs propriétés et leurs utilités suivant le schéma de:

hypothèse -expérimentation a axiome généralisation ley

Mais la fièvre de l'expérience ne se produit pas seulement au 19ème siècle, elle se reproduit tout au long de l'histoire de l'humanité, affectant les deux groupes afin que chacun récupère en se défendant de ce que l'autre affirme. ou vous disqualifiant. Tout ce que nous sommes maintenant, bons et mauvais, est le résultat de telles défenses mutuelles et aussi des moments dans lesquels ils ont accepté de se combiner. Chaque combinaison se distingue par sa propre renaissance et son sillage demeure malgré le temps, car elle est formée de substances fraternelles et non séparatrices basées sur la cessation de soi-même, de sorte que ce n’est ni vous ni moi. La somme des deux.

Ainsi, Milet, ville d’Asie Mineure colonisée par les Ioniens au XIIe siècle avant Jésus-Christ, constitua une enclave intellectuelle propagée par des personnages tels que Thalès, Anaximandre ou Anaximède qui provoquèrent avec leurs hypothèses de véritables révolutions jusqu’à la création école, école. Ionic, opérant à partir de VIADC et caractérisé par la tentative d'expliquer rationnellement le monde à partir de l'expérience.

Aristote les appelle des physiciens parce qu'ils ont expliqué la nature en tant qu'unité vivante fondée sur un principe unique et original: l'arkhë. Thalès de Milet fut peut-être le premier à avoir tenté d'énoncer les lois de la nature en insérant la culture de l'ancienne Babylone dans le monde hellénique, mélange d'Akkadiens, de Sumériens, de Mèdes et de Persans, d'où la confusion entre leurs langues. une tour existante à l'intérieur de la ville à l'époque de Nebucadnetsar, entre les Ve et VIe siècles de notre époque, appelée Ziggourat ou tour de Babel, faisant partie du complexe fortifié urbain situé sur les rives de l'Euphrate. Tel, comme d’autres, ne se demandait pas ce que l’on sait, mais comment on le sait en remettant en question l’autorité et la tradition qui déterminent quoi mais pas comment.

L'épistémologie ou science de la connaissance est structurée sur la formulation constante d'hypothèses formant des axiomes et aboutissant à des lois universelles utilisant l' eureka, expression de la science de la découverte, une branche de l'épistémologie appelée méthodologie. C'est la relation constante entre les faits, les erreurs et les assertions. Nous ne pourrons jamais comprendre les choses si nous n’avons pas déterminé ce que nous voulons savoir pour établir une méthode de recherche dont le résultat sera la connaissance.

Albert Einstein était dans son laboratoire quand l'un de ses collaborateurs l'a informé à la hâte que sa théorie de la relativité avait été démontrée dans une expérience astronomique. Il ne broncha pas et continua son travail sans faire attention. Interrogé sur sa réaction si cela n’avait pas été démontré, il a répondu: "Je l’aurais regretté, pour le bon Dieu, car la théorie est correcte ."

Pour Einstein, qui pouvait vérifier expérimentalement par l’esprit, c’était un axiome dont il pouvait déduire une loi mais qui ne constitue pour le profane qu’une hypothèse. La partie de l'humanité que nous ne vérifions pas expérimentalement au-delà du plan physique, nous avons créé la conviction de croire en ce que nous ne savons pas, en invoquant des attitudes incompréhensibles et pratiques que nous ne pouvons pas expliquer. Ainsi pourrait commencer une religion.

La science a développé son propre langage dont l’exposant maximum est la formule . La religion a fait la même chose à travers le mythe . Le mythe n’admet pas de formulation parce qu’il représente l’idéal et demande conviction, il n’a aucune base expérimentale. La formule n’est pas atténuée car elle obéit à une réalité vérifiable et exige son exécution. C'est ainsi qu'apparaissent les dogmes scientifiques et religieux qui traversent le culte. Si la science essaie de tout réduire aux formules et la religion aux mythes, les deux sont représentés par des symboles dans lesquels ils concentrent tout ce qu'ils sont. Si la formule et le mythe étaient unis, ils produiraient un troisième élément:

le son, la Parole créatrice sans dogmes.

Trois caractéristiques peuvent définir à la fois la science et la religion, mais aucun lien ne se correspond, elles restent donc mélangées.

Concernant la science trois verbes à l'infinitif:

Savoir — Comprendre ——- Expliquer

En ce qui concerne la religion, trois attitudes:

Croyance ——– Prière ——— Culte

C'est-à-dire,

Savoir

Croyance

Comprendre

Prière

Expliquer

Culte

Il y a des croyances qui ignorent la raison et des connaissances qu'on ne croit pas, des prières mal interprétées et des attitudes que nous ne pouvons pas expliquer. Nous créons ainsi le culte.

La combinaison des éléments de chaque groupe est nécessaire, elle pourrait constituer le germe de la fraternité universelle et l’établissement de lois ayant un aspect très différent de celui des lois actuelles, issues d’hypothèses raisonnées et universellement applicables dans la pratique, évitant des expressions telles que celles rassemblées. Dans son Canon 487, le droit canonique définit l' État religieux comme "la manière stable de vivre en commun, par laquelle les fidèles, en plus des préceptes communs, imposent également l'obligation de pratiquer l'obéissance, la chasteté et la pauvreté" .

Ces lois peuvent être élaborées à partir du principe de concrétion individuel de ce que je devrais savoir croire et croire en moi-même, mais pas en tant qu'individu isolé, mais dans le cadre d'un environnement dans lequel j'ai un rôle spécifique. La connaissance de soi-même et de soi-même est nécessaire pour découvrir où elle se situe dans le décor et commencer à servir, sans continuer à le gêner.

Nombreux sont les humains qui ont découvert tout ou partie de leur tout et lui ont servi de léguer cet eureka à l' humanité, une connaissance égoïstement exploitée par d'autres. Ainsi, en utilisant cette connaissance, nous empoisonnons les eaux et l’atmosphère, appauvrissons la fertilité de la terre et détruisons sa croûte terrestre en utilisant des énergies physiques, psychologiques et nucléaires contre les autres et contre tout. Pour le mauvais usage de la connaissance.

Il est clair que la solution ne peut venir de la généralisation de l'ignorance et de la concentration du savoir exclusivement pour quelques-uns, mais l'inverse. Elle exige seulement qu’elle soit présentée et expliquée d’une manière logique, compréhensible et absente, entre formules et mythes, mais elle doit également être entendue avec l’attention qui lui est due, qu’elle soit admise ou non. Nous n'avons pu ni l'un ni l'autre.

La spécialisation a eu un effet bénéfique: elle s’est approfondie dans un domaine spécifique dans lequel de grandes connaissances ont été découvertes, et certaines mauvaises, que le vocabulaire et le vocabulaire incompréhensible pour d’autres spécialités ont été créés. Tant de différences constituent une Ziggurat réelle et actualisée . Nous sommes bons dans notre domaine mais inutiles dans le reste. Nous en savons plus, mais nous nous sommes séparés davantage qu'avant la spécialisation.

Jusqu'au XVIIIe siècle, il était possible de maîtriser tous les domaines de la connaissance humaine, mais l'étude était désormais limitée à un seul en raison de l'accumulation de connaissances et de l'incapacité de les acquérir tous.

De la même manière que nous ne nous séparons pas d'une mauvaise pensée en nous coupant la tête, nous devrons modifier quelque peu notre propre structure pour en faire apparaître une nouvelle, nouvelle et actualisée. Ce changement devrait commencer par ne pas nourrir la structure obsolète pour qu’elle succombe de faim jusqu’à ce qu’elle se contracte sur elle-même en se densifiant tellement que, comme un trou noir, l’implosion disparaisse à jamais. Il y a un vide à ce moment-là, où il y avait une structure humaine, l'énergie de ce vide créatif est telle qu'elle magnétise tout son environnement depuis un centre, le germe ou le germe d'une nouvelle structure apparaissant.

L'effet est le même que celui produit lorsque l'on jette une pierre dans l'étang et que de petites vagues se forment jusqu'au rivage couvrant toute la surface.

L'ensemble d'attitudes imposées par la tradition ou par l'autorité, propices à la direction et au contrôle d'une société, sera donc également dirigé vers la connaissance et l'ignorance. L'importance est de discerner ce qu'il faut savoir . Une fois qu'il a été déterminé, il n'est plus difficile d'établir une méthode et de se mettre au travail.

Vivre immergé dans les conditions sociales et en être capable de s’en extraire pour en créer de nouvelles, nous pourrions déterminer comme une première approche de la vacuité. Une fois que la pierre aura été lancée, il sera impossible d'éviter ses vagues, de sorte que toute notre attention est nécessaire lors du choix. Le résultat de ces hypothèses est un nouveau savoir qui sera incorporé à toute l'humanité, tant pour son utilisation correcte que incorrecte, et nous comprenons qu'il peut commencer par savoir quoi faire et que faire, activités résultant de la combinaison, et non du mélange, entre croyance et savoir.

Cela implique un changement, une transmutation de la structure humaine actuelle de chacun, par l'identification des pensées qui nous occupent, des sentiments et des attitudes. La transmutation est double:

- D'un côté, les structures qui n'entrent pas en considération dans la nouvelle hypothèse sont progressivement ignorées, utilisant et concentrant l'énergie en un seul point qui est le centre d'attention actuel, et ce centre est comme l'œil du cyclone, le vide .

–En revanche, les structures obsolètes négligées ne sont pas perdues en rien, mais elles se détachent du tout lorsqu'il existe un centre d'attention centralisé disposant de suffisamment de puissance pour leur fournir l'énergie nécessaire pour investir dans le processus de séparation. C'est comme une fission nucléaire à partir de laquelle une grande quantité d'énergie est émise, et tout est utilisé pour que chaque composant ou particule en absorbe le correspondant, cet ensemble formant une série de nodules ou corps d'énergie microscopiques qui déterminent la théorie corpusculaire avant nous allons observer.

Une fois qu'ils ont réussi à se dynamiser et à se séparer de l'ensemble, c'est-à-dire que lorsque nous avons réussi à nous séparer d'une mauvaise pensée sans nous avoir coupé la tête, deux effets se produisent:

–Le premier que nous appelons service est que les particules détachées des structures humaines et dynamisées au maximum de leurs capacités ou humanisées reviendront à d'autres moins énergétiques qui constituent à la fois des expressions du règne humain et des règnes animal, végétal et minéral. .

- la seconde ou aspiration, est l'activité motivée par l'hypothèse ou le centre d'attention qui, tôt ou tard, créera de nouvelles structures dont la matérialisation progressive exige une substance nouvelle capable de supporter le potentiel ou la volonté contenu dans la proposition. C'est la conséquence d'avoir jeté la pierre dans l'étang.

L’effet du service et l’ aspiration résultent tous deux d’un processus qui a abouti à la combinaison de certains des éléments caractéristiques de la science et de son nom relatif à la religion, les résultats étant toujours différents circonstances de penser, de ressentir ou d'agir des énergies incomparables sont investies. Cette transmutation définie à la fois pour les sphères scientifique et religieuse est refusée, en raison de la loi de la résistance minimale qui régit la question dans la manifestation actuelle, causant le manque de compréhension entre science et religion, dans ses significations les plus larges et les plus inclusives.

Cependant, des propositions ou des hypothèses ayant entraîné le niveau actuel de connaissances ont été formulées. Ainsi, dans certaines régions ou expressions ésotériques, nous sommes connus de la cosmogonie de l’humanité dans les chaînes de Saturne, du Soleil, de

la Lune et celle de la Terre actuelle, dans lesquelles il y a encore des êtres, des esprits ou des anges de ces chaînes éloignées, pour structurer l'être humain actuel, mais avec des matériaux obsolètes en raison de propositions ou d'intentions humaines que nous n'avons pas encore pu transcender Par conséquent, une pensée humaine a aujourd’hui un contenu émotionnel et une attitude physique qui correspondent en partie à une évolution antérieure, mais nous l’exprimons au présent, de sorte qu’elles doivent être structurées par les mêmes anges ou devas qui l’ont déjà fait. dans ces passés lointains. L’aspect religieux ou la conviction associé à l’ignorance permettent d’attribuer à ces anges toutes sortes de mauvaises influences sur l’humanité, nous opposant à ce que nous leur disions ce que nous voulons qu’ils fassent lorsqu’ils expriment nos désirs égoïstes, en respectant des traditions injustes ou laissez-vous emporter par une pensée institutionnalisée et généralisée.

Tous, sans exception, remplissent leur mission qui consiste à couvrir l'expression, l'intention ou les hypothèses humaines, de manière à ce qu'elles se manifestent dans des substances physiques, astrales et mentales. Ils sont les exécuteurs du « demande et il te sera donné», rien de plus, rien de moins, ce qui rend la construction de la matière correspondant à une telle demande.

L’évolution exige que les propositions ou hypothèses actuelles n’aient rien à voir avec ce que nous avons déjà fait dans les chaînes de Saturne, du Soleil ou de la Terre.

la Lune mais correspondent à ceux de la Terre et cessent de constituer les effets de service et d’aspiration avec des énergies d’évolutions transcendées, d’où le culte du corps physique, la satisfaction émotionnelle et la soumission de l’esprit à l’ensemble ensemble, avec les injustices que d'autres êtres humains souffrent de la faim, de maladies, d'insatisfactions et de l'incapacité de penser correctement lorsqu'ils ne disposent pas de ce qui est nécessaire.

Le vide actuel devrait découler d'une attitude qui favorise la stabilité physique et émotionnelle nécessaire à la pensée correcte, c'est-à-dire l'esprit qui régit l'ensemble et permet la transmutation dans chaque plan de manifestation.

Les enseignements ésotériques nous le disent et nous pensons qu’il n’est pas suffisamment mis en avant malgré son énorme intérêt - que l’évolution de la chaîne de Saturne nous accompagne Ils opéraient des anges dans les quatre sous-plans supérieurs de chaque plan en manifestation, dont la seule mission est de transmuter la matière d'un plan à un autre. En d'autres termes, ils favorisent tous les phénomènes radioactifs, car la radioactivité est définie comme l'énergie qui émerge lorsque la matière passe à un autre état supérieur. Ils constituent l'espoir authentique et sûr d'un avenir meilleur. Sa caractéristique est la joie, parce que la joie est ce que nous éprouvons lorsque nous parvenons à réaliser un objectif. Ils sont responsables du fait que la matière constitutive des trois sous-plans inférieurs de chaque plan peut transmuter en celle des quatre sous-plans suivants. Lorsque nous sommes conscients de ce processus, nous pouvons expérimenter une satisfaction mentale et non une satisfaction émotionnelle.

Ces anges permettent et encouragent le changement de glace en eau ou en vapeur, celui de la fonte des métaux et le plus intéressant est peut-être celui de la transmission du son à convertissez en deux ondes électromagnétiques à la fois le mouvement mécanique des muscles qui produisent la voix et l'intention lorsque vous parlez, en la transportant magnétiquement. Et ce n'est pas un miracle.

La connaissance appartient à l'humanité et peut être transmise mais il n'est pas possible de faire la même chose avec sagesse car elle est exclusive et individuelle, personnelle et incessible. Il n'y a pas deux égaux, mais si deux personnes Seul niveau de connaissance. La connaissance n'est que la partie objective de la sagesse et constitue la révélation de l'action individuelle.

Nous sommes décrits de manière ésotérique comment un constructeur élémentaire agit, quelle que soit son origine, en pénétrant dans l’état de la matière immédiatement supérieur à celui qui opère pour collecter la substance avec ses bras et ses mains courbes comme des palettes pour le mieux. bridage, retour à son niveau opérationnel et construction de la matière correspondante dans ce plan. De la même manière que le petit ange pénètre dans un état immédiatement supérieur pour collecter des instructions qui les exécuteront sur son propre plan, de sorte que tous ces êtres d'autres chaînes dans lesquelles nous avons évolué dans le passé opèrent, en attente de la création, par l’humanité contemporaine, de ces noyaux magnétiques, propositions ou hypothèses à partir desquelles ils peuvent absorber l’énergie correspondante dans l’évolution terrestre actuelle et pas celui que nous utilisons encore, appartenant à des développements antérieurs.

Tant que cette proposition, noyau ou vide créatif, n'apparaîtra pas, elle ne sera pas en mesure de produire l'effet de service et les autres n'auront pas la possibilité de structurer de nouveaux matériaux plus parfaits grâce à l'effet d'aspiration.

Une telle croyance peut avoir sa base de connaissances en science lorsque, par exemple, le physicien suédois Svante Arrhenius (1859-1277) a énoncé son " hypothèse de panespermie" consistant à transmettre la vie d'une étoile à une autre par médiation d' êtres vivants minuscules qui se déplacent dans des espaces intersidéraux. Ces êtres vivants que la science mentionne sont des manifestations des anges transmutants de la matière nommés ésotériquement et leur déplacement à travers l'espace intersidéral est un effet similaire à celui de la transmission du son par les ondes électromagnétiques ou du changement de matière d'un état autre.

Nous nous demandons pourquoi il est difficile de trouver dans les dictionnaires le mot "panespermia", même dans les encyclopédies. La science et l'ésotérisme parlent de la même chose, pour que le dialogue soit plus facile, il ne faudrait qu'un peu d'attention mutuelle.

Une autre corroboration scientifique très intéressante est la propriété consistant en l'échange temporaire d'électrons entre deux atomes, de sorte que l'un acquiert les caractéristiques et les propriétés de l'autre pendant un certain temps.

Des expériences scientifiques montrent que cela se produit entre des particules atomiques qui échangent de la matière et des propriétés. Cela constitue également une déclaration ésotérique que les caractéristiques humaines actuelles et les différenciations entre les races et les constitutions sont dues à une certaine collaboration entre les planètes. Si nous appliquons le principe hermétique comme ci-dessus comme ci-dessous, il nous permet de comprendre et d'admettre l'affirmation ésotérique à travers l'expérience scientifique, ainsi que la possibilité qu'elle se produise eu égard aux systèmes solaires, aux galaxies, ..., en tout Le cosmos infini. C'est-à-dire que l'échange télépathique ou médiumniste à travers l'effet d'aspiration et de service, énoncé à la fois par la science et par l'occulte, pourrait être autorisé, mais sous des noms différents.

La différence est que la science exige l'expérimentation alors que l'expression religieuse basée sur la conviction doit recourir à un langage symbolique pour expliquer ce qu'elle ne peut pas faire: le mystère . De cette manière, les autorités religieuses et scientifiques appliquent des lois sans correspondance axiomatique bien qu'hypothétiques, telles que l'erreur de Sir Isaac Newton dans la première moitié du dix-septième siècle, lorsqu'il disait que la lumière se déplace plus rapidement dans un environnement dense que dans un autre. léger, ce qui signifie qu'il est plus rapide dans l'eau que dans l'air. En raison de son caractère imposant et autoritaire, cette fausse croyance scientifique dura cent ans jusqu'à ce que Maxwell, en 1864, démontre que la lumière était un phénomène électromagnétique et qu'elle ne se déplaçait pas plus vite dans l'eau que dans l'air, brisant ainsi l'hypothèse de Newton. transformez-le en axiome et ceci en loi. De cette manière, un grand intérêt scientifique a été suscité pour expérimenter les effets de la lumière sur les phénomènes électriques, la lumière ayant elle-même un autre phénomène électrique.

Nous vérifierons tout au long de ce travail que nous évoluons à travers des croyances généralisées et institutionnalisées, en établissant des différences en ce qui concerne le savoir, alors que ce devrait être l'inverse, en permettant par respect que chacun suive sa propre conviction et que le savoir acquis soit un site du patrimoine mondial, le partager En d’autres termes, nous faisons en sorte que les croyances soient communes et égales pour tous, mais nous différencions vos connaissances des miennes. Nous pourrions universaliser le savoir et faire de la croyance un héritage de chacun.

L’intérêt pour l’expérimentation a produit, en particulier au XIXe siècle, un courant d’opinion qui a profondément divisé l’humanité, tant les communautés scientifiques que religieuses. Dans le domaine scientifique, certains étaient favorables aux nouvelles expériences en physique et en chimie, d’autres adhéraient aux anciennes croyances, ce qui conduisait à un état de scepticisme et de méfiance mutuelle qui se manifestait dans les contradictions et les disqualifications de certains contre d'autres

De la même manière qu'il existe des êtres du domaine scientifique qui ont légué à l'humanité un grand héritage de savoir en raison de leurs propres croyances, savoir dont nous bénéficions, nous vivons et nous conservons le présent malgré les opinions contre eux Ils se sont levés, aussi dans l'aspect spirituel il y a eu des êtres qui ont offert à l'humanité une connaissance occulte et ont créé une école. Si les scientifiques ont été vilipendés, critiqués et non autorisés lorsqu'ils ont exprimé leurs déclarations hypothétiques, il en va de même pour les personnes qui ont offert à l'humanité un énorme bagage de connaissances occultes.

Si nous pouvons supprimer le désaveu et la critique, l’esprit répréhensible et l’autorité qu’il impose, il ne restera que les déclarations hypothétiques de l’un et de l’autre avec la liberté de chaque être humain qui élucide s’il les admet ou non, et quand beaucoup Dans votre vie quotidienne et habituelle, énoncez chaque loi axiome sur la manière dont ils vivent et agissent, comment ils se sentent et pensent, la loi est généralisée en universalisant toute l'humanité sous forme de connaissance sans différenciation ni obstacle, car tout ce qui a été connu Cela a été cru.

Quand, vers 1920, Arrhenius énonça son hypothèse sur la panespermie, il n'existait aucun instrument ni dispositif permettant de détecter la présence de matière organique dans la poussière stellaire qui tombe continuellement du cosmos sur l'atmosphère terrestre. Cependant, il a pu proposer son hypothèse à l'humanité, souscrivant aux croyances scientifiques et religieuses prévalant concernant la genèse et affirmant qu'elles refusaient de l'admettre, car cela supposait l'existence d'une énorme et gigantesque comète qui aurait transporté

La matière organique de la Terre traverse l’espace venant du cosmos et qui a donné naissance à la vie présente dans tous les royaumes.

Une telle affirmation a provoqué contre lui de grandes convulsions comme celles qui ont causé à son époque Copernic ou Galilée Galilée. Il arrive cependant que certaines hypothèses non étayées et rejetées aient été démontrées expérimentalement au cours de l'histoire, devenant des réalités constituées par la connaissance fournie par la connaissance de ce que l'on croit.

Étant donné qu'agir, ressentir et penser sont le résultat de la relation avec d'autres personnes qui agissent, ressentent et pensent, et que parfois elles se mélangent et réussissent parfois à se combiner en raison de l'absence de critique et d'objection, lorsque la combinaison se produit, l'harmonie et la paix, caractéristiques de l'universalité et contraires à la séparativité. La note prédominante est la joie de la relation sans empêchement, produisant simultanément le service et l'effet d'aspiration.

Il est observé que ceux qui ont donné des connaissances à l’humanité les ont exprimés d’une manière ou d’une autre influencés par certaines circonstances scientifiques, religieuses et sociales, commettant parfois de vraies atrocités dues à l’imposition d’une croyance, imposition faite à la fois par ignorance et par autorité ou par intérêt. Les scientifiques cachant leurs conclusions et les spiritualistes se laissant emporter par les tendances du temps, réagissant les uns contre les autres. Mais si dans le présent nous sommes capables d'observer l'ensemble épistémologique sans le bruit de l'objection, nous pourrons atteindre l'essence même de la connaissance qu'elles se transmettent. Lorsque nous lisons l'héritage de l'un d'eux et que nous nous efforçons d'ignorer le temps où ils ont pu investir dans des discours d'exaltation personnelle, de panégyrique et de disqualification d'autrui, nous pouvons trouver la seule chose qui se manifeste en eux sans exception, et ils ont connaître quelque chose de ce qu’ils croient et nous le transmettre sous forme de connaissance. Les circonstances constituent un temps qui change constamment, mais l'essence de la connaissance reste inchangée dans l'espace. Ou nous assistons au temps ou progressons vers l'espace ...

La panespermie a provoqué un pandémonium comme tant d’autres dans l’histoire. Agustín de Hipona a joué dans l'un d'eux, qui est à moitié dissimulé depuis le IVe siècle, parce qu'il a été adopté et adapté à l'église catholique comme l'un de ses grands docteurs:

"Est-ce que Dieu sera le moment?"

Malgré le tumulte habituel dû peut-être à l’ignorance des uns et à la commodité des autres, Agustin, Copernic, Galilée et beaucoup d’autres ont pu, à un moment donné, faire abstraction des circonstances qui conditionnent l’essence même du savoir Ils transmettent à travers et malgré toutes les limitations. Il existe de nombreux exemples, et nous nous sommes autorisés à assister à l'une d'elles il y a à peine 25 ans, lorsque deux physiciens américains portant le nom de famille espagnol Álvarez, Luis le père et Walter le fils, ont expérimenté la concentration en iridium dans certaines couches géologiques. à Gubbio, Italie, y étant venu justement parce que l’existence de l’iridium est très rare et extrêmement rare dans

La Terre, cependant, est très abondante en météorites. Observaron que en determinado estrato aumentaba la concentración del iridio en grandes proporciones, le dataron la edad y constataron que era de hace unos 64, 98 millones de años, precisamente la que se cifra como la desaparición de los dinosaurios. Casi simultáneamente, y parece que las cosas se sirven a veces en bandeja, se descubrió un cráter enterrado de 200 kilómetros de diámetro en Chicxulub, península del Yucatán en México, que se cree producido por la caída de un enorme meteorito ya que allí no se detecta actividad volcánica alguna, y al datarlo, el resultado fue la misma edad que el estrato de Italia.

Se calcula que hace aproximadamente un centenar de millones de años atrás toda la vida terrestre se basaba exclusivamente en el carbono, pero a partir de la extinción de los dinosaurios y de forma progresiva, han ido apareciendo fósiles de algas diatomeicas con otro elemento del que no se tiene constancia de que existiese hasta entonces en

la Tierra, el silicio.

Hay que tener en cuenta que por efecto de la radiación alfa sobre el aluminio se obtiene silicio, como más adelante observaremos. Tenemos base científica para creer en la hipótesis de que el silicio terrestre pudo formarse a partir de las radiaciones desde aquella época.

Resulta admisible de manera lógica y enlazando los hechos, que el germen de la vida actual en

la Tierra pudo llegar transportado por un gigantesco cometa que, como un espermatozoide, generó nuestra actual biología.

En el presente se sigue cada vez con menor resistencia la hipótesis de la panespermia y se sabe algo más de la desaparición de los dinosaurios, no resultando tan descabellada la idea de que llegando materia orgánica a

la Tierra y ser datada su existencia en cientos de millones de años a través del espacio sideral, pueda suponerse que dicha materia orgánica llegada viva a nuestro planeta ha podido resistir temperaturas, presiones, radiactividades y otras variables energéticas que superan en mucho a las que permiten la vida aquí, y sin embargo no han sucumbido. Tampoco parece ilógico el pensar que exista vida en otros planetas y que en la Tierra se manifiestan relaciones similares a las que puedan producirse en otros planetas, sistemas solares, galaxias, …, en todo el Cosmos.

Este intercambio y constante interrelación entre las partes de un todo puede tener una traducción: la fraternidad.

Como toda hipótesis tiene a su inventor o impulsor ya su ejecutor o realizador, y debido a que existen hipótesis más abstractas o de mayor dificultad de realizar que otras, asimismo existirán distintos niveles o jerarquías realizadoras. Al Excelso Ser o Entidad capaz de formular la más pura y abstracta de las hipótesis y de mayor complejidad en su realización le llamamos Dios o Logos, asimismo cabe pensar en la existencia de su homólogo Constructor y en su mismo nivel de excelsitud, pureza y abstracción que, atendiendo a los seres que Lo conforman, se designan como elementales constructores, seres asuras, ahrimanes o luciferes en infinitas jerarquías, tantas como posibilidades hipotéticas a realizar.

El ocultismo y el ámbito científico tienen distintas consideraciones en lo concerniente a la transmutación, liberación, iluminación y vacío, actividades todas ellas resultantes de la relación en la que se combinan espíritu y materia, hombre y ángel, ciencia y religión. Podría resultar esclarecedor contemplar estos aspectos referentes a la transmutación, observando la constante actividad que en este sentido se ha producido en la humanidad desde tiempos inmemoriales.

Adoptando el axioma de Einstein sobre la disminución del tiempo al aumentar la velocidad, (el tiempo transcurre más aprisa arriba de un edificio que abajo, pero medido abajo), si aumentamos mucho la velocidad va a disminuir mucho el tiempo hasta que, al llegar a la velocidad de la luz física (300.000 kilómetros en un segundo), el tiempo sería cero, es la eterna juventud, pero lo asombroso es que si continuamos aumentando la velocidad con valores superiores a la de la luz, el tiempo retrocede al pasado, ¿podríamos cambiar el pasado?, si pudiésemos hacerlo es porque nos desplazaríamos a velocidades distintas y todas ellas superiores a la de la luz, correspondiendo un tiempo pasado para cada velocidad, de la misma manera que correspondería un tiempo presente para cada velocidad menor que la de la luz, ¿habrían presentes distintos y simultáneos?, ¿dónde se situaría nuestra conciencia?. Podrían ser hipótesis para unos, y axiomas o leyes para otros.

Vamos a crear un vehículo hipotético para desplazarnos a velocidades superiores a la de la luz y regresar por un momento a una parte de nuestro pasado contemplando el ir y venir de sucesivas hipótesis, admitidas unas y rechazadas otras, verdaderas en un momento dado o siempre falseadas, para conocer algo de lo que nos precede y de lo que nos puede ser venidero. Ante esta rapidísima visita al pasado habrá que omitir infinitos detalles en los que no nos detendremos y advertir que los reseñados no constituyen lo más relevante, pero los consideramos suficientes para la finalidad de este trabajo.

2–BREVE CRONOLOGÍA

Año 380 antes de Cristo

Estamos con Demócrito de Abdera que, basándose en su maestro Leucipo postula que toda sustancia la conforman unas partículas materiales e indivisibles a las que llama átomos y que entre ellos tan solo existe el vacío. Constituye una de las primeras referencias al vacío de las que disponemos.

Año 320 antes de Cristo

Arist teles no admite las hip tesis de Dem crito y adopta las de Emp docles mediante las que se afirma que las sustancias se forman a partir de los elementos de la tierra, del agua, del aire y del fuego, a adiendo un quinto elemento, el ter, llenando as el vac o de Dem crito.

Una hip tesis contra otra.

A o 300 antes de Cristo

Estamos con Euclides y nos dice que no elige ni una ni otra, sino que prefiere el m todo deductivo y la experimentaci n pr ctica, dando as a la humanidad unos conocimientos que van a constituir el libro de texto en ense anza durante m s de 2.000 a os. Sin embargo, sus seguidores son llamados los disputadores, porque est n reduciendo el arte de la dial ctica a la disputa formal. Comienza a introducirse otro m todo, el inductivo, basado en la curiosidad m s all de la experimentaci n, haciendo admisibles hip tesis basadas en razonamientos l gicos.

A o 200 antes de Cristo

La obra De rerum natura (La naturaleza de las cosas) de Lucrecio permite trasladar al imperio romano gran parte del conocimiento hel nico, adoptando las hip tesis de Dem crito vigentes durante cinco siglos, tal es as que en el a o 1.483 el Papa Sixto IV ordena copiar ntegramente al lat n.

Puede observarse un largo per odo de tiempo en el que es escasa la formulaci n hipot tica debido a que es el mundo rabe el que desarrolla especialmente la qu mica, atendiendo a excepciones tales como el alem n Libau o el suizo Paracelso, aunque los alquimistas europeos durante

la Edad Media no perdieron contacto con los rabes y orientales. Tambi n el mundo espiritual ten a sus propias hip tesis y creencias dogm ticas adoptadas por distintas congregaciones, dedicadas unas a imponer sus leyes acabando por constituir una cultura de masas y otras a rechazarlas, como en la ciencia. As, mientras en unos grupos se instauran normas sociales, en otros predomina su ausencia, provocando anomia como fen meno psicol gico y que ser estudiada por soci logos como Durkheim o RK Merton en su intento por descubrir el impulso que mueve al individuo cuando adopta un comportamiento desviado respecto del resto de la sociedad.

Los anomeos dejan sentir su influencia sobre todo en el cristianismo, al sostener que el Verbo es de distinta naturaleza a la del Padre, idea basada en Arrio que, por los siglos V y VI, afirma que el Verbo posee tan solo una divinidad secundaria y que encontró esta hipótesis en Orígenes (siglo III) cuando proclama que el Hijo tiene distinta sustancia de la del Padre. Arrio fue presbítero en Alejandría y excomulgado, pero sus hipótesis o doctrinas tienen muchos seguidores, tantos que el emperador Constantino convocó el Concilio de Nicea para condenarle, dejando resueltas las diferencias afirmando imperativamente en mayo del año 325: “Jesucristo, Hijo único de Dios, es nacido del Padre antes de todos los siglos, Dios de Dios, Luz de Luz, verdadero Dios de Dios verdadero, engendrado y no creado, consustancial al Padre y que por Él fueron hechas todas las cosas”

En España no se zanja la controversia hasta el año 587 en el III Concilio de Toledo en el que el rey visigodo Recaredo, su esposa y toda la corte tienen que abjurar con la intención de acabar con tanta guerra entre hispanoromanos y visigodos. Una vez más contemplamos la imposición de unas hipótesis sobre otras mediante la autoridad que establece las creencias que le convienen, siendo la ignorancia y el interés particular sus instrumentos.

Hasta el siglo XVII

Los pensadores griegos se sienten atraídos hacia dos tipos de filosofía, la natural y la moral . De

la Filosofía natural, es Aristóteles su máximo exponente preocupándose por encontrar la razón del por qué cae la lluvia o del cómo se mueven los planetas, y de la Filosofía moral es Platón quien introduce cuestiones tales como qué es la justicia o la virtud.

Sobre el año 250 de nuestra Era se protagoniza un desarrollo místico en exceso a través del neoplatonismo y las formulaciones de Plotino. En Europa se rigen básicamente por

la Filosofía moral centrándose en la Teología, olvidando en gran medida a la natural, pero fueron los árabes quienes preservaron a Aristóteles y Ptolomeo a lo largo de la Edad Media, y gracias a ellos regresaron a occidente las premisas de la Filosofía natural, de manera que sobre el año 1.200 es redescubierto Aristóteles con tendencias como el tomismo del teólogo italiano Tomás de Aquino, que supone la base de la teología en la iglesia romana.

En 1.543 Nicolás Copérnico publica un libro revolucionario, pues afirma que hay que considerar al Sol como centro del Universo y no a

la Tierra. Tarda un siglo en ser asimilado y generalizarse tal creencia para ser axioma, pero si regresamos 2.000 años atrás vemos a Aristarco de Samos que ya se anticipó a tal afirmación.

Encontramos a un genial publicista, convincente lógico y que está acabando con todas las teorías aristotélicas, Galileo Galilei, gran narrador que describe sus experimentos de forma tan clara e irrefutable que está conquistando a la comunidad erudita europea. El aspecto revolucionario de Galileo estriba en la sustitución del método deductivo por el inductivo, es decir, en lugar de que las conclusiones sean deducidas a partir de unas generalidades, hay que observar para poder hacer la generalización, o sea el axioma.

El verdadero éxito del pensamiento humano empieza a producirse cuando se establece un principio fundamental “el libre intercambio y la cooperación”, algo tan obvio en el presente y que provocaba grandes recelos en el pasado, así, los pitagóricos formaban una sociedad secreta, los alquimistas de

la Edad Media procuraban que no saliesen de su círculo los descubrimientos, Nicolo Tartaglia, descubridor de un método para resolver ecuaciones de tercer grado, mantuvo encubierto su hallazgo hasta que un joven matemático, Geronimo Cardano, descubrió su secreto, pero un siglo más tarde la cosa cambia radicalmente, por ejemplo, el químico inglés Robert Boyle considera crucial la publicación y explicación de todos los hallazgos para el conocimiento general de la humanidad.

Se va produciendo una interrelación científica sin paralelo en el aspecto espiritual que continúa recluido y aislándose cada vez más, de manera que actualmente la ciencia está formada por una comunidad con mayor relación y comunicación que el que se produce en los diversos sectores del aspecto espiritual. Ello conlleva quizás, a una mayor separación.

En este orden de cosas, los adelantos del mundo árabe empiezan a ser adoptados en Europa y se construye el primer microscopio óptico con una lente de vidrio y que precisa de la luz del día para observar los objetos.

Isaac Newton se establece en el mundo científico con gran autoridad postulando su teoría corpuscular de la luz. Por su parte, Christiaan Huygens, físico neerdanlés, formula otra hipótesis respecto de la luz, la teoría ondulatoria afirmando que la energía se propaga mediante ondas y no partículas, negando que sea más rápida en el agua que en el aire, es decir contradiciendo en todo a Newton.

De nuevo la contraposición de hipótesis que, en este caso concreto se resolverá a partir de 1.864. Sin embargo, la comunidad científica se inclinó ante lo que decía Newton rechazando a Huygens durante un siglo.

Ilustramos con un sencillo gráfico ambas teorías

1.801

El inglés T. Young reafirma la teoría ondulatoria al explicar con ella las interferencias y los distintos colores del espectro. Pero queda pendiente la corpuscular.

1.803

John Dalton rescata a Demócrito al desarrollar su teoría atómica basándose en las hipótesis de dos antecesores suyos, Boyle y Proust . Por fin encontramos un axioma después de tantas hipótesis que constituye el primer enunciado atómico de la edad moderna en el que se distinguen dos tipos de sustancias, las elementales y las compuestas. Comienza una verdadera fiebre por la experimentación que obtiene resultados inexplicables de manera l gica y por las hip tesis vigentes.

1.827

Robert Brown bot nico escoc s, descubre el movimiento ca tico y desordenado de las part culas microsc picas en un l quido calentado, de manera que al aumentar la temperatura logran superar las fuerzas que las mantienen unidas y formando parte del l quido, para pasar a un estado nuevo, el vapor. Este hecho conllev el establecimiento de diversas hip tesis reunidas en el llamado movimiento browniano que ser aprovechado por Einstein 78 a os m s tarde.

1.859

Comienza a ser utilizada la palabra radiaci n al afirmar que la energ a del Sol nos llega por radiaci n . Los cient ficos Bunsen y Kirchoff logran demostrar la existencia de un espectro distinto para cada elemento qu mico y se constituyen como los padres de la espectroscopia actual.

Se observa que, en ocasiones, la energ a que recibe un cuerpo no aumenta su temperatura sino que es utilizada para cambiar de estado, proceso que se bautiza como endoenerg tico . Por ejemplo, cuando hierve el agua lo hace a 100 cent grados y al aumentar la temperatura hierve con mayor fragor, pasando m sr pidamente a vapor. Ello viene a confirmar el paso de la materia desde un estado a otro cuando se le suministra la debida energ a, cuya correspondencia existe respecto de los dos efectos, el de aspiraci ny el de servicio.

Un gran descubrimiento es el que consiste en la observaci n de c mo se emite la energ a, que tendr su momento lgido en 1.921 con Einstein. Hasta ahora se tiene la creencia de que un cuerpo puede emitir energ a de manera infinita, sin embargo se observa que tan solo se emite bajo ciertas circunstancias que, si no se dan, desaparece la emisi n energ tica, y esto no puede explicarlo la f sica cl sica, por lo que se hace necesaria la reformulaci n de hip tesis y rechazar las vigentes.

1.864

Maxwell aporta al mundo dos enormes afirmaciones, en la primera resume toda la electricidad y el magnetismo conocidos en cuatro fórmulas, y la segunda, que la luz es un fenómeno electromagnético y no es más rápida en un medio denso que, al quedar demostrado, desbanca definitivamente la tesis newtoniana.

1.866 – 1.867

H. Hertz estudia la descarga eléctrica entre dos electrodos y observa que mejoran los resultados al iluminar uno de ellos, por lo que piensa que la luz aumenta la potencia del electrodo iluminado, con la sorpresa de que este aumento de potencial lo transmite al otro electrodo de manera inmediata.

Este experimento electromagnético desarrolla varias hipótesis que devengan en los llamados efecto fotoeléctrico y la radiactividad, que más adelante explicitaremos brevemente. Hertz junto a Hallwachs, continúan investigando con estos fenómenos basados en iluminar una placa de cinc, produciéndose ondas luminosas delante de ella.

1.895

Se descubren los rayos X observando que las fosforescencias de determinadas sustancias pueden atravesar materias opacas sin dañarlas e impresionar placas fotográficas, fenómeno al que se denomina radiactividad como efecto de una radiación o emisión de energía.

1.896

En la noche del 26 al 27 de Febrero trabajaba en el laboratorio un científico francés, A. Henri Becquerel, experimentaba con sales del uranio obtenido a partir de la pechblenda, las metió en un cajón junto a unas placas fotográficas sin impresionar y marchó a su casa. Al siguiente día se le ocurrió revelarlas observando una imagen, la de la fosforescencia del uranio. Contacta con Marie Sklodowska Curie que, junto a su esposo Pierre Curie, comienzan a experimentar con ello, observando que unas radiaciones son atraídas hacia el polo positivo de un imán, por lo que han de estar cargadas con electricidad negativa y las llaman beta, a otras las atrae el polo negativo y han de tener carga eléctrica positiva, a las que denominan alfa y otras que no son atraídas sino que se propagan en línea recta y las nombran gamma . Observan que existen elementos con mayor radiación que el uranio, como el polonio y el radio. Se les concede el Nobel a los tres en 1.903.

Existe gran expectación hacia estos fenómenos lo que provoca atención hacia los experimentos, tendencia que es denominada por otros como de materialista recluyéndose en sus espiritualidades e invirtiendo su tiempo en justificar una postura en contra, lo que da a la humanidad una considerable cantidad de conocimientos ocultistas a través de personas, mahatmas, maestros, iniciados o clarividentes.

En ambos aspectos, el científico y el espiritual, está recibiendo la humanidad una ingente cantidad de conocimientos que constituyen una verdadera joya a pesar de sus atribuladas circunstancias y tendrá que asimilarlos, transmitiéndolos de individuo a individuo, de grupo en grupo, tal como acabamos de ver en la analogía del experimento de Hertz en 1.887, si se nos permite establecer una correspondencia entre la experiencia atómica y la actividad humana.

1.897

JJ Thomson demuestra la existencia real de unas partículas con carga eléctrica que, al ser atraídas por el polo positivo de un imán han de tener carga negativa y las llama electrones . Queda abierto el camino para experimentar con ellos y medir su carga y masa. Lógicamente se formula la hipótesis de que han de existir otras cargas con electricidad positiva y que ambas forman el conjunto atómico como unidad de la materia, que es neutra, es decir sin carga eléctrica.

Las hipótesis de Dalton en 1.803 resultan ahora insuficientes, ya que se basan en la indivisibilidad del átomo y esta creencia ya no puede mantenerse por más tiempo ante el hallazgo de los electrones como partes integrantes de una unidad atómica. Todavía existen sectores que no admiten estos hechos debido a que no se ha experimentado con ellos, por lo que aún pertenecen al terreno hipotético.

1.900

Max Planck y Albert Einstein consiguen demostrar la teoría corpuscular de la luz, llamando quantum o cuantos a los corpúsculos energéticos. Nace

la Física Cuántica y De Broglie aplica las propiedades de las teorías ondulatoria y corpuscular a toda clase de materia y no solo a la luz, llamando a esta extensión mecánica cuántica.

1.902

Frederick Soddy deja establecido que la radiactividad es el resultado producido cuando un elemento muta hacia otro diferente quedando libre una energía.

1.905

Artículo de Einstein sobre el movimiento browniano (1.827) proporcionando a la ciencia la evidencia experimental e incontestable sobre la existencia real del átomo, otorgando un sencillo método para contarlos a través del microscopio óptico. Asimismo hermanó las dos teorías, corpuscular y ondulatoria, como explicación lógica del hecho de que se desprendan electrones de una superficie metálica iluminada o efecto fotoeléctrico. La reacción que se produce ante las hipótesis de Einstein conmocionan los ámbitos científicos, momento que es aprovechado por otros ámbitos espirituales para defenderse argumentando sobre la inexistencia del átomo.

1.906

JJ Thomson es galardonado con el Nobel por demostrar que los electrones existen realmente como partículas materiales e integrantes de la unidad atómica, que poseen carga eléctrica negativa y masa, evidenciando la teoría corpuscular aplicada a ellos. Falta por demostrar que también se les pueda aplicar la ondulatoria. Se suceden experimentos con distintos metales sometidos a luces variadas para observar a los electrones desprendidos, es decir, el fenómeno o efecto fotoeléctrico.

1.911

Se observa que la materia se transforma cuando es sometida a la acción radiactiva experimentando sus efectos en sólidos, líquidos y gases. Rutherford llega a poder medir la masa de una carga eléctrica positiva y que es 1.836 veces mayor que la negativa o electrón, asignándole el nombre de protón.

1.915

Se consens a una especie de acuerdo mediante el que los esot ricos y exot ricos establecen el mediumnismo como m todo para demostrar al mundo la existencia de lo espiritual ante tanta tendencia y atenci n al materialismo, entendiendo que el m dium, como mediador que es y atendiendo a lo que se nos dice esot ricamente, tan solo puede penetrar en el mundo de lo et rico o et reo porque tiene bloqueado el paso hacia otros m s sutiles como el astral, debido a que sus tomos contienen hasta dos orificios de entrada energ tica, revelando conocimientos de car cter siempre medi tico que puedan existir en dicho mundo et rico, revelaciones que nunca son propias sino ajenas.

Se propaga el nimo de practicar una ciencia espiritual como reacci n al materialismo imperante, y el hecho de negar rotundamente la existencia del tomo y de las part culas que lo componen, se observa tanto en espiritualistas como en cient ficos.

Todas las manifestaciones medi ticas o medi mnicas precisan de una energ a invocativa que las impulse, de una adecuada estructura at mica que las configure para expresarlas y de un objetivo que, al ser intermediado, siempre tiene el marchamo del ser o seres que se expresan y el de quien les sirve de expresi n. De esta manera nos han llegado conocimientos relevantes de partes de la verdad con las tendencias o intenciones de sus impulsores, tanto occidentales como orientales, m s espiritualistas o materialistas. Al observarlas podr amos esforzarnos en no atender a esas circunstancias diversas en cada poca y persona, para tratar de encontrar esa parte de la verdad en su esencia. Cuanto mayor es el tiempo dedicado a justificarse argumentando razones para descalificar al otro, mayor cuidado y atenci n requerir del observador que busca la esencia de la verdad. Dicha esencia existe en todas estas manifestaciones, tan solo requiere de la aplicaci n del efecto fotoel ctrico y de la radiactividad para desprenderlas de lo innecesario y captar el n cleo: el vac o creador.

1.919

Rutherford somete el gas nitr geno a radiaciones alfa y obtiene un is topo, quedando establecida la mutaci n de la materia de manera artificial. Puede crearse materia en el laboratorio.

1.921

Nobel a Einstein por su demostración práctica sobre el efecto fotoeléctrico y las aportaciones a la física teórica. Más hipótesis.

1.922

Compton demuestra que, en el efecto fotoeléctrico, un electrón necesita menos energía de la que contiene el fotón luminoso para desprenderse del átomo, apareciendo un segundo fotón con la energía sobrante. Es la reacción en cadena.

1.926

Davisson y Germen, acaban de demostrar que los electrones también cumplen la teoría ondulatoria, por lo que quedan admitidas ambas de manera definitiva como aplicables a toda la materia y no solo a la luz, aunque se admiten como hipótesis ya que todavía no se han efectuado experimentos que lo verifiquen en la práctica.

1.932

Chadwick, alumno de Rutherford, descubre una nueva partícula en el interior del átomo, sin carga eléctrica y con una masa similar a la del protón, el neutrón.

1.934

La hija de Marie Curie, Irene y su esposo Joliot, experimentan con la transmutación artificial sometiendo el aluminio a radiaciones alfa, apareciendo fósforo radiactivo con una vida media de dos minutos que degenera en silicio estable. Se admite que la radiactividad produce mutaciones en los seres vivos.

1.935

Hideki Yukawa, científico japonés, descubre otra partícula atómica, el mesón, cuya masa es 200 veces superior a la del electrón.

1.936

Se construye el primer microscopio electrónico utilizando electrones y que permite 800.000 aumentos.

1.937

Las teorías ondulatoria y corpuscular se han admitido pero no se han demostrado experimentalmente y es G. Thomson, hijo de JJ Thomson el que lo hace obteniendo el Nobel por ello. Asimismo presenta el primer modelo de átomo que consiste en una esfera cargada con electricidad positiva en la que se incrustan por su superficie unas bolas o electrones. Se le denomina plumcake por su apariencia de pastel con pasas.

1.960

Al modelo de Thomson le siguieron otros como los de Rutherford, Bohr o Sommerfeld basados en la idea de que el electrón gira alrededor del núcleo pero en órbita estacionaria, es decir que siempre pasa por el mismo sitio a la misma hora.

N. Heisenberg enuncia su principio de incertidumbre al no poder encontrar al electrón en un lugar exacto de su órbita. Todo el sector científico se pone de acuerdo para abandonar la hipótesis de Rutherford.

1.981

Se estudia el efecto túnel consistente en la propiedad de los electrones para adquirir energía de su entorno o de otros electrones, con el objeto de abandonar la estructura a la que pertenecen. Hipótesis: los electrones forman la materia junto con el núcleo atómico, tienen tendencia a absorber energía para vencer la fuerza que les mantiene unidos y desprenderse de ella, pero energetizados.

Aplicando esta hipótesis al aspecto espiritual, podría traducirse como la tendencia de todos los seres elementarios o constructores, a absorber energía para lograr abandonar la estructura material que los cohesiona en la actualidad. Se construye el primer microscopio aplicando el efecto túnel que proporciona una visión todavía incompleta del átomo.

1.983

Heine Roher, Nobel en 1.986, fabrica otro microscopio mediante el efecto túnel que permite la observación de átomos individuales con mayor perfección que su antecesor y se le denomina STM.

1.984

E. Schrödinger y P. Dirac, establecen las bases para la física cuántica mediante el cálculo de la probabilidad de encontrar un electrón determinando su posición y movimiento, lo que ratifica la hipótesis de Heisenberg con el principio de incertidumbre. Debido a ello se dice que Einstein se equivocó, ya que intentó demostrar la inexistencia de dicho principio, sin conseguirlo. Podría pensarse, sin embargo, que la certeza de Einstein se producía en materia etérica y no en la física. No existen todavía instrumentos de medida para cuerpos etéricos y por lo tanto desconocemos el grado y plano de la certeza de Einstein, tan solo podemos certificar nuestra ignorancia.

3.—POSIBLE RELACIÓN ENTRE CIENCIA Y OCULTISMO

Al aminorar la velocidad con nuestro hipot tico veh culo regresamos al presente contemplando el conjunto de observaciones. Se establecen hip tesis y se desbancan, unas se demuestran y otras no, siempre existe reacci n en contra de cada una de ellas y mucho de lo que se afirma se adorna de las circunstancias del momento.

Este continuo hacer y deshacer, cada vez con m s nobles materiales, tal como lo describe V. Beltr n, constituye nuestro proceso evolutivo. Rectificar es de sabios.

La finalidad puede situarse en el proceso del constante desprendimiento de estructuras para adquirir otras nuevas m s perfectas que las anteriores, proceso contemplado tanto por la ciencia a trav s del efecto fotoel ctrico y la radiactividad, provocando mutaci n en la materia tanto org nica como inorg nica, y asimismo en ocultismo al definir la transmutaci n con nombres tales como iluminaci no liberaci n.

Saint Martin dice: Disipad vuestras penumbras materiales y encontrareis al hombre proceso que tambi n est definido en las llamadas iniciaciones en ocultismo, correspondiendo a

la Primera:

-la transmutaci n de los tomos qu micos que absorben la energ a de la propia materia en el plano f sico. Se corresponde con la sublimaci n de las estructuras f sicas del Reino Mineral y que forman parte del Humano.

A la segunda:

-Es el Reino Vegetal el transmutado y la energ a se corresponde con el plano astral.

A la tercera:

-Corresponde el Reino Animal y predominan las energ as o fuegos de la mente.

A la cuarta:

-El cuerpo causal o Alma controla a los otros tres. Su transmutaci n consiste en facilitar el paso de m nadas animales al Reino Humano.

Puede resumirse afirmando que toda materia evoluciona hacia otra en un estado superior.

Corresponde a estas cuatro primeras iniciaciones toda la evolución material que a través de su progresivo ennoblecimiento se sutiliza cada vez más por el trabajo de seres o entidades que colaboran y aprenden junto con el ser humano. El resultado de esta íntima y estrecha colaboración entre dos evoluciones paralelas, la humana y la angélica, es la luz, para lo cual se requiere entendimiento y diálogo de manera que el hombre pueda oír el color y el ángel ver el sonido. Es otra forma de expresar la transmutación.

La hipótesis o propósito constituye la electricidad unipolar positiva que manifiesta

la Voluntad a través del llamado Fuego de Fohat, es el Espíritu o aspecto Padre en su estado puro. La materia o realización es la electricidad unipolar negativa, se manifiesta a través del Fuego de Kundalini y constituye el aspecto Espíritu Santo. Y la combinación entre los dos anteriores forma el Fuego Solar, es la luz o aspecto Hijo. Si la Voluntad y la Materia permanecen inalterados en mezcla, no existe resultado alguno. Pero cuando uno y otro, lo positivo y lo negativo, consienten en combinarse perdiendo la identidad que les es propia, únicamente entonces se produce la luz.

En la quinta iniciación continúa el proceso, y ya vimos que es la primera vez que la naturaleza humana puede realizar el efecto de aspiración, consistente en el paso o transmutación desde el Reino Humano al Espiritual, la 5ª Jerarquía Creadora. Corresponderá a las cuatro primeras iniciaciones la totalidad del efecto servicio y que abarca toda la materia en posible manifestación para nuestro actual 2º Universo.

Podría quedar ilustrado la totalidad del proceso en el siguiente gráfico:

Es entre la cuarta y quinta iniciaciones cuando el alma, controlando a la personalidad que la ha envuelto hasta entonces, ha de desprenderse totalmente de esta envoltura, proceso conocido en ocultismo como la destrucción del cuerpo causal y que en lenguaje simbólico o místico se exclama “Padre, por qué me has abandonado”. Supone el vacío en su máxima expresión y en su acepción más absoluta, es la noche oscura del alma de Juan de

la Cruz porque la conciencia o alma humana ya no dispone de materiales en los que manifestarse, los ha sublimado todos y cada ser o entidad constructora ha regresado perfeccionado mediante el efecto servicio a otro nivel de expresión logoica en el que se manifestará como polaridad positiva habiendo sido negativa antes de la sublimación.

Cuando el proceso radiactivo impelido por el alma humana transmuta la totalidad de átomos materiales que estructuran sus cuerpos mental, astral y físico, tan solo quedan los núcleos habiendo culminado su proceso de evolución material en este sistema solar y continuará evolucionando más allá de la materia en la actual manifestación. En el momento en el que el último de los electrones absorbe la energía del núcleo del que forma parte y logra desprenderse, la estructura humana se constituye únicamente por los núcleos atómicos, es decir, la pura esencia de lo que fue materia y energetizados al máximo de su capacidad, constituyendo la más elevada de las manifestaciones de

la Voluntad Logoica en el ser humano. A partir de entonces ya no puede manifestarse en la materia que le ha servido durante millones y millones … de años, de ahí el profundísimo e inenarrable vacío que puede suponer y que no disponemos de expresiones para su manifestación objetiva.

Es a partir de la quinta iniciación pues, que se evoluciona únicamente con la electricidad de polaridad positiva o Fuego de Fohat en su prístina pureza,

la Voluntad Absoluta, Voluntad que hasta entonces era conocida por el Iniciado como un concepto mental, muy elevado y abstracto pero mental. A partir de este momento ya no tiene mente.

Esotéricamente estamos enunciando el experimento que llevaron a cabo los científicos Hertz y Hallwachs en 1.886-7 de la absorción energética por parte de un electrodo iluminado que cede inmediatamente le energía absorbida al otro.

Veamos una ilustración del efecto fotoeléctrico:

La luz ilumina la placa metálica que está formada por átomos con cargas positivas o protones y negativas o electrones. Los electrones absorben la luz energetizándose hasta que logran vencer la fuerza que los mantiene formando el metal. Comienzan a desprenderse y cuando lo hayan hecho todos, se habrá producido un cambio en la estructura del metal ya que tendrá una composición distinta de la original, habiendo pasado hacia otro estado menos másico o de menor densidad y ya no será el mismo que teníamos antes.

El desprendimiento de los electrones produce la radiación y vimos al viajar en el tiempo que produce cambios en todo tipo de materia, recordemos lo observado en los años 1.911 y 1.934 que se obtuvo silicio a partir del aluminio.

Observemos el proceso de mutación atómica por efecto de la radiación:

Cuando el electrón ha absorbido del núcleo la suficiente energía como para poder desprenderse liberándose de la estructura atómica, se rompe el orbital, y siendo el mismo que era, pero ahora cargado energéticamente al máximo, se transforma mutando a una carga del mismo potencial pero positiva y adoptando el papel de núcleo a partir de este momento, solo que en un nivel material de expresión logoica distinto al que se encontraba y de mayor densidad.

De esta manera, un nivel material puede absorber la energía que le suministra otro nivel inmediatamente superior, de forma que lo que evoluciona construyendo en un nivel pasará a otro inmediato inferior a realizar hipótesis. Si quien realiza las hipótesis o proposiciones es el hombre en la 4ª Jerarquía y quien las construye es el elemental angélico, al efectuarse este proceso, el ángel será el creador de hipótesis en una Jerarquía inmediata inferior, la 3ª, es decir en el Reino Animal o mónadas animales, que serán humanizadas por el efecto servicio.

Al considerar la transmutaci n del n cleo definida por el efecto aspiraci n, y cuando se ha energetizado al m ximo, de forma similar a como lo hace el electr n, cambia su polaridad a negativa convirti ndose en electr n que busca un n cleo para revestirlo formando nueva materia. Debido a que la masa del prot n es menos densa que la del electr n, la nueva materia ser m s sutil que la anterior. Si seguimos el proceso ininterrumpidamente, comprenderemos c mo se va espiritualizando cada vez m s la materia a la vez que se intercambian sucesivamente los papeles de humanidad y elemental constructor, ya que el n cleo se ha convertido en electr n para dar forma y construir otras hip tesis m s complejas que las que ven a idealizando, es decir, lo que es humanidad en la 4 Jerarqu a ser constructor en la 5 o Reino Espiritual, pero estructurando materia de mayor sutilidad.

La humildad, en su sentido m s absoluto para los humanos, podr a derivarse de este proceso transmutador si realmente admiti semos que lo m s elevado de nuestro 4 Reino ser lo menos elevado en el siguiente, el 5, de manera que el fin de algo coincida siempre en el principio de otra cosa, jam s puede perderse la continuidad y en ello puede consistir el proceso evolutivo.

El mencionado proceso de transmutar hacia el estado inmediato superior supone la concepci n del vac o, que en realidad supone plenitud porque se ha alcanzado la perfecci n arquet pica en un plano, y la misma creaci n supone el acto de realizar como el de idealizar, pero como la conciencia no puede estar en dos planos a la vez, cuando se ha de idealizar no puede realizarse y viceversa.

Si esquematizamos gr ficamente lo antedicho, podr a aplicarse tanto a una unidad at mica como a un sistema solar, gal ctico oc smico, constituyendo en todos los casos un germen en primer lugar, formado por la hip tesis o Voluntad de que algo se pretende realizar y que constituye un n cleo el ctrico positivo que por atracci n, formar un tomo cuando encuentre un electr n de su misma carga el ctrica pero de signo negativo, siendo el momento en el que algo se ha creado en un plano material y objetivo.

La reciente creación evoluciona imparable e inevitablemente a través del doble proceso de servicio y de aspiración, ya que la conforman una dualidad, y el proceso evolutivo es radiactivo, la radiactividad produce transmutación tanto en la materia sutil como en la densa …. y el paso que supone el fin de algo hacia el principio de otra cosa, es el vacío, pero un vacío creador . Y así sucesivamente repitiéndose en el infinito este proceso y que proviene del infinito, tanto si es considerado a nivel Logoico como humano o atómico, es decir, macroscópico o microscópico.

Todo ser constructor proviene de una humanidad en otra expresión logoica y su labor se manifiesta en la locución mística del “pedid y se os dará” mientras que todo ser humano tiene como destino convertirse en luz a través de innumerables procesos en los que ha conseguido que sea realizada su proposición, es decir que la polaridad positiva de su hipótesis se corresponda con la negativa de la sustancia para manifestarse en la materia. Cada hombre tiene un ángel y cada ángel un hombre. Cuando su polaridad positiva es máxima o máxima es la complejidad de su hipótesis, supone la utilización de toda la sustancia para manifestarse en la más perfecta de las materias exigiendo un ángel tan experto y puro como lo sea la hipótesis, uniendo la pureza de intención con la perfección estructuradora de formas en sus máximas expresiones. Este es el momento de máxima luz en el que se exige al ser humano “déjalo todo y sígueme”, es el vacío y la transmutación.

Habremos de considerar la existencia de propósitos humanos egoístas, es decir densos y por tanto de escasa potencia eléctrica positiva, lo que comporta la atracción de constructores también densos y poco potentes cuyas sustancias se acercan más a las del plano físico que a otros más sutiles, por lo que debido a las grandes densidades de ambos, las materias resultantes son de lo inferior del reino humano e incluso pertenecientes a reinos inferiores como el animal, vegetal o mineral. Así observamos, desgraciadamente, comportamientos humanos que tienen que ver con los del reino animal. Cuando seamos capaces de no efectuar proposiciones propias de reinos inferiores, todos los elementales constructores del reino animal y que todavía están activos en el humano, transportarán al reino animal la energía que han absorbido en el humano para convertirse en quienes realizarán las hipótesis, es decir, en la humanidad que subyace en el reino animal. Tal es el efecto servicio.

De manera análoga, los que evolucionamos como humanidad en el actual 2º Universo, procedemos de alguna Expresión Logoica de

la Voluntad y constituimos el conjunto de cargas eléctricas positivas o núcleo, las llamadas místicamente “chispas monádicas” cuya evolución podría consistir en lo expuesto con anterioridad y cuyo destino el de actuar como constructores o “ àngeles” en el tercer Universo.

Esotéricamente se afirma que el destino de la humanidad es convertirse en un cuerpo de luz, así también en el ámbito científico se reconoce que somos hijos de la luz.

Visto con este criterio, hemos creado el mito de Dios rebajándolo a la condición humana pero con inalcanzables e imposibles virtudes, mientras que al Diablo le hemos cargado con todos nuestros defectos y vicios situándolos fuera de nosotros y designándole como culpable. Todo ello pueden constituir nuestras creencias y responsabilidad de cada cual es saber aquello en lo que cree o continuar sumido en la ignorancia.

Cuando en un laboratorio se ha conseguido aislar un protón “aparece” un electrón con su misma carga eléctrica pero de signo negativo para formar un nuevo átomo, creando materia artificial. Lo sorprendente es que la “aparición” del electrón se produce al azar y sin la posibilidad de que el científico pueda controlarlo para decidir cuándo o cómo ha de aparecer. Existe, experimentalmente comprobado, una Ley Universal mediante la que ante una carga eléctrica positiva aislada aparecerá otra negativa para formar materia. Las cargas positiva y negativa son distintas sustancias que al combinarse producen la materia a la que llamamos “cosas” . Si el protón o propósito humano es egoísta atraerá a su homólogo negativo o sustancia constructora para producir una materia que será agradable y satisfactoria a su creador, pero desagradable y perjudicial para los demás, por lo que acabamos de crear la maldad correspondiente a ese deseo egoísta. No es el diablo quien incita y gesta el mal, sino nosotros mismos, los seres humanos a través de nuestras hipótesis personalistas y separadoras.

“Demon est Deus inversus” (El Demonio es la inversión de Dios), dice un antiguo comentario. Es el ser humano quien a través de nuestras ignorantes, intencionadas y egoístas proposiciones, hemos separado la labor del Diablo de la que realiza un Arcángel, cargando al Diablo con todo el mal hecho y por hacer. De la misma manera que el Arcángel realiza los designios de Dios sin cuestionarlos, porque carece de conciencia para juzgar, el Diablo hace lo mismo respecto del ser humano y no tiene posibilidad de entender si satisface o hiere al hombre. La conciencia es al ser humano como la realización es al ángel, y una de las manifestaciones posibles de la conciencia humana es juzgar. Al hombre le corresponde decidir.

Si nos metemos otra vez en el laboratorio, podríamos observar ahora con el microscopio STM a un átomo. Fijémonos en el electrón: su carga eléctrica es justo el doble de la que podría tener una esfera material con su misma masa y cargada eléctricamente, ello es debido quizás a que efectúa DOS VUELTAS alrededor del núcleo para completar UN SOLO ORBITAL. En la primera vuelta parece que tantea el espacio pretendiendo captar algo y en la segunda vuelta lo ejecuta, adaptándose a lo captado en la primera. Nunca se mueve por el mismo sitio ni a la misma velocidad –de ahí el principio de incertidumbre de Heisenberg, 1.960- es decir que el electrón o ángel interpreta la voluntad humana procedente del núcleo atómico para ejecutarla inmediatamente, tanto a nivel atómico o microcósmico como en el macrocósmico, llegando así a la configuración material de un átomo, de un hombre, de un planeta, de un sistema solar o del propio e infinito cosmos.

Parece irresponsable por nuestra parte el acusar al Diablo de maligno, cuando no hace otra cosa sino cooperar en la ejecución de la voluntad humana y siendo inconsciente de la bondad o maldad del resultado.

La determinación de que una hipótesis puede ser realizada, supone un equilibrio entre la voluntad de realizar o polaridad positiva y la de ejecución o polaridad negativa, que tan solo este equilibrio puede producir la luz, que la luz ilumina a la materia para iniciar el efecto fotoeléctrico y la radiactividad, que la radiación transmuta a la materia en otra nueva, que la nueva materia puede suponer mayor polaridad negativa que la anterior, que al aumentar la polaridad negativa tendrá que hacerlo la positiva para restablecer de nuevo el equilibrio, que el nuevo equilibrio producirá más luz que antes, al haber aumentado las polaridades, ( “la luz dentro de la luz”), a mayor luz se producirá un efecto fotoeléctrico de mayores efectos, si aumentan los efectos aumentará la radiación … etc. … etc., deducimos que el vacío o sentido absoluto del silencio puede ser debido a que esencia o núcleo y sustancia o electrón forman la materia, que si la materia transmuta para adquirir mayor perfección es porque cambian su esencia y sustancia en el mismo sentido y este proceso no tiene principio ni fin lógicos porque no pertenecen al tiempo.

Cuando pretendemos establecer esa l gica desde lo comprensible result ndonos imposible hacerlo con exactitud y concreci n, debido a que pretendemos realizar lo irrealizable, y atrevi ndonos tan solo a formular hip tesis, tiene la raz n Heisenberg. Pero en cuanto seamos capaces de razonar sin el condicionante del tiempo, es decir, prescindiendo de todo lo que ya es concreto, podr resultar posible establecer la correspondiente l gica razonada entre la hip tesis y su realizaci n, sea en el plano que sea donde se est produciendo la relaci no combinaci n. Al sutilizar al m ximo este ltimo proceso ya no estaremos utilizando la mente l gica o concreta sino la abstracta, que tambi n es l gica pero en grado sumo, ya que todav a la forman n cleos en espera de sus correspondientes electrones para constituir materia all donde todav a no la hay: en la mente abstracta actual. Y entonces tendr a raz n Einstein. Parece que la historia se repite.

A medida que la humanidad forja prop sitos de justicia, de voluntad al bien y fraternales, se suceden transmutaciones desde la actual materia hacia el aislamiento y soledad de los n cleos por efecto de la radiactividad. Como toda perfecci n empieza arriba, han de ser las materias o planos mentales las primeras en transmutar, seguidas de las del plano astral y las del f sico. Al efectuarse tal transmutaci ny aparecer n cleos negativos que eran antes positivos, la suma de todos ellos produce un clamor invocativo o demanda en forma de capacidad para realizar, capacidad que atraer a la correspondiente polaridad positiva m s pronto om s tarde, y que supone la capacidad de idealizar. Si la demanda es potente, as ser la respuesta y este podr a ser el mecanismo mediante el que se realizar a

la Venida del Avatar.

El primer plano en el que se manifestar a un Avatar es el mental, habiendo sido atra do o absorbido (hemos de utilizar expresiones que quiz s no sean las m s correctas) por la existencia del conjunto de n cleos at micos mentales transmutados a negativos. Est

la Venida Avat rica captada conscientemente por aquellos seres, del reino humano o de otros reinos, que han transmutado en ese plano creando un vac o, y es este vac o el que atrae mutuamente. Utilizando una expresi n esot rica, equivaldr aa la tercera iniciaci n.

Si se contin a el proceso transmutador sucede an logamente en los planos astral yf sico con respecto de las iniciaciones segunda y primera, efectu ndose la relaci n directamente con el propio Avatar oa trav s de Sus Disc pulos.

El predominio de la materia se nombra esot ricamente Kali Yuga o Edad de Hierro, y se corresponde con el plano f sico, a la que se suceden otras como consecuencia del proceso de la transmutaci no radiactivo, recorriendo las Edades del Bronce o plano astral y la de

la Plata o plano mental, hasta llegar al plano búdico o Edad de Oro, en la que tan solo existirán núcleos.

Así quedaría configurado un nuevo estado material correspondiendo a una nueva expresión de

la Voluntad Logoica, quedando de manifiesto como estructuras sociales más justas, gestadas por una mayor voluntad al bien que, a pesar de todo y de todos, persiste en cada corazón humano, habiendo producido a lo largo del proceso grandes transformaciones sociales.

Hemos de admitir la existencia de fuerzas que se resisten a cualquier cambio y que pueden llegar a arrastrarnos cuando la energía en nuestros núcleos atómicos es débil, es decir que admitimos sus dictámenes en forma de pensamiento, sentimiento o actitud. Ello es lo único que retrasa el proceso de la transmutación, sin llegar a paralizarlo. Transmutar es progresar desde lo denso hacia lo sutil, desde lo gravitatorio hacia lo magnético, hasta que todo lo que era gravedad se haya convertido en magnetismo y culminando con el último de los procesos en la materia que consiste en la transmutación de todo lo que es magnético en eléctrico.

La suma de todas las estructuras con tendencia hacia lo gravitatorio o denso, intentando retrasar la transmutación o vacío, constituyen el llamado Guardián del Umbral, con un poder invocativo que se manifiesta de forma similar al Avatar, pero con polaridad negativa, mientras que el Avatar está constituyendo una polaridad positiva. El aumento de la potencia del Guardián del Umbral también constituye una demanda o poder invocativo y puede suponer la venida de un Anticristo .

Toda estructura que se oponga a transmutar, evitará el vacío, porque nunca quiere abandonar lo que ya posee, lo único que le aterra es el vacío ya que allí se reduce a la nada, mientras que la estructura transmutada se convierte en el todo.

El Ángel de

la Presencia constituye la suma de todas las estructuras que se han desprendido de sus electrones por el proceso descrito y que van a ser transmutadas a negativas conscientemente. Esta es su Misión en la Tierra, la de realizar el proceso transmutador, y no puede efectuar su trabajo si antes la humanidad no ha hecho el suyo. El Ángel de la Presencia es el Mediador entre la humanidad y el Avatar, cuyo símbolo es la luz y cuya actividad se realiza en el corazón, supone el máximo exponente de aquellos seres elementales que nos acompañan desde la Cadena de Saturno y que son los transmutadores individuales, designados a cada ser humano, efectuando su trabajo desde cada átomo y en cada plano para facilitar la transmutación desde los tres subplanos inferiores hacia los cuatro superiores.

Al afirmar o negar el vacío se desarrollan los dos tipos de Magia Organizada y de Magos. El Agni Yoga es la consecución de

la Luz, la afirmación del vacío que tan solo puede realizarse a través del chacra cardíaco, cuyo primer vehículo de expresión es la mente. Así pues, será el corazón quien primero tendrá que pensar, para que lo haga después la mente.

Dice Agustín de Hipona: “El mundo fue creado CON el tiempo, y no EN el tiempo” .Y dos antiguos comentarios: “Que cesen los constructores externos y que inicien su trabajo los internos”

“Cuando todo lo que existe haya atravesado

la Llama,

entonces ya no existirá el tiempo”.

Palabras que resumen todo lo que hemos pretendido exponer acerca del vacío.

Que la luz descienda a la tierra.

Feliz año 2.007 y nuevo estado.

Eloy Millet Monzó

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